13 août 2005
De l'inexorable influence de la testostérone
A une époque pas si lointaine, je me posait ici des questions sur l'orientation hormonale du fils de moi. Le caprice mémorable, au milieu d'un rayon d'Auch(i)an(t), pour qu'on lui achète les chaussons Barbie ; son goût douteux pour les princesse Disney ; sa façon de courir plus proche de celle de Baryshnikov que de Maurice Greene ; sa passion pour le maquillage... autant de petits détails qui me faisaient craindre que j'avais imprégné le pauvre enfant de trop de poudre de gonzesse.
Ce matin, le Nathasamère vient de faire sa grande entrée dans le royaume du vrai, du poilu, du gros malotru : à mon passage, il me claque les fesses et scande : "c'est à nous tout ça ?"
Depuis ce matin, mon fils est un mec...
Des bises
Marie
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