27 mai 2005
La place que prend l'absent
Il n'appelle pas. Il n'écrit pas.
Il pourrait ne pas exister si je ne pensais pas à lui jour et nuit.
Et je prends toute la mesure de l'oxymore. Le silence est assourdissant, son absence envahissante.
OK, ta gueule Louise Labé, ravale ton sonnet et remets-toi au boulot.
Des bises
Marie
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